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A la St quentin L'eau s'écoule enfin
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Tribune: Science sans Argent
Visiteur a écrit : "Si la "science sans conscience n'est que ruine de l'âme", la science sans argent n'est que ruine d'un peuple.
Malgré les dérapages résultants de la cupidité humaine, la science a produit des évolutions souvent essentielles et utiles à l'Homme.
Et l'argent est ce qu'on a trouvé de mieux jusqu'à présent pour favoriser la recherche. Afin de concilier argent, recherche et éthique, il faudrait favoriser la recherche publique en respectant des éléments indispensables :
* Faire venir des capitaux privés, par l'intermédiaire d'une structure publique gérée par d'anciens Nobels indépendants;
* Prendre des mesures incitant les grandes fortunes à participer à ce financement;
* Garantir l'intérêt général en offrant à tous le résultat de ces recherches.
Toutes les grandes évolutions du Monde sont venues de la recherche scientifique, qui a rendu possible ce qui semblait impossible. A l'heure où certains ne cessent de dire que rendre la vie meilleure est devenu impossible, il serait temps de se donner les moyens de trouver des solutions et de rendre cette vie meilleure pour tous."
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Transmis par adminle 19 octobre 2011 à 14:35:15 CEST (3202 lecture(s))
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Tribune: Humanité démodée ?
Visiteur a écrit : "L'enfance est le terreau de l'homme, l'apprentissage vers les autres
sortir de soi désordonné, suivre sa voie et son destin;
s'inventer autre chose plus beau, rayer tous les maux de la terre
par une simple volonté;
cette générosité se perd ensuite par dépit, renoncement, désillusion;
pour justifier cet abandon, on dit qu'on est un adulte réfléchi;
vieillir, c'est oublier ses rêves et ne plus croire à l'impossible;
alors on se replie sur soi et l'autre n'est plus qu'un gêneur
dont il faut se débarrasser pour profiter le mieux possible,
seul, en souhaitant le malheur des autres ou au moins en les méprisant;
Regardons bien au fond de nous, qu'avons nous fait de tous ces rêves ?
bien enfoncés, bien oubliés, car il est plus facile de dire
qu'on est pas responsable du monde;
Ne tire-t-on pas plaisir d'une difficulté qu'on aura surmonté ?
et n'est-on pas plus fort ensemble ?
Solidarité, ce mot a renversé des montagnes, ailleurs, avant;
Forcer le monde à s'adapter à des valeurs universelles,
le plier à l'humanité, voilà un très beau rêve."
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Transmis par adminle 24 mai 2011 à 17:21:24 CEST (3139 lecture(s))
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Tribune: Travail en Commun
On a tendance, depuis 20 ans, à mettre en avant le travail d'équipe, tout en encourageant et en récompensant le contraire.
Chacun a tendance à croire qu'il sera mieux considéré si "l'idée" vient de lui, s'il trouve tout seul "la solution".
Quitte à perdre du temps et à passer à côté de bonnes opportunités.
Il est pourtant plus simple et efficace de confronter des idées afin de choisir la meilleure; et ce quelle que soit son niveau de responsabilité, du bas en haut de l'échelle sociale.
On a toujours intérêt à demander à d'autres leur avis, leurs solutions, ce qui permet ensuite de trancher en connaissance de cause.
On a plus de chances de prendre les bonnes décisions. Ca paraît évident, mais ce n'est pas si simple à mettre en pratique tous les jours; il faut une réelle volonté de partage et d'écoute, même quand ça dérange.
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Transmis par adminle 11 janvier 2011 à 16:47:51 CET (3002 lecture(s))
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Tribune: La Presse
Visiteur a écrit : "Le rôle premier de la presse est d'informer.
L'information regroupe deux parties :
les faits
le commentaire
S'il est difficile de réclamer des commentaires objectifs de la part de journalistes qui ont tous leur propre sensibilité politique ou engagement civique, on devrait être en droit d'attendre un exposé des faits objectif, non falsifié par une présentation souvent tronquée ou de mauvaise foi.
Quand il n'y a pas carrément absence de présentation, c'est à dire dissimulation d'informations.
Combien d'informations dérangeantes venant de la presse étrangère ou en France généralement du Canard Enchainé sont reprises par la presse écrite, puis par la presse radio et télévisée ? Trop peu. Et il faut le plus souvent que le scandale soit énorme et incontournable, et de nature à être repris par un clan politique contre un autre. Ce qui revient presque à une "autorisation" de diffuser l'information.
Dans la plupart des pays qui souffrent de censure, on trouve des journalistes pour faire sortir les informations gênantes, en prenant de grands risques personnels. Il est dramatique qu'en France, on assiste à une autocensure quasi-générale, et le seul risque pour beaucoup de journalistes est d'attraper un lumbago à force de courbettes.
Il est quand même paradoxal de voir qu'un journaliste désirant traiter d'une affaire brûlante ne peut le faire trop souvent qu'en écrivant un livre.
La presse en agissant ainsi se décrédibilise, et ne remplit plus sa fonction de garde-fou du pouvoir. Et malheur à ceux qui les critiquent, car ils portent atteinte à la liberté de la presse. Quelle liberté ? Celle d'intégrer ces cercles de pouvoir qu'elle est censée surveiller !
A la décharge des journalistes, il faut reconnaître que le poids des grands acteurs économiques sur la presse, actionnaires ou annonceurs, incite certainement les dirigeants à freiner leurs ardeurs.
Il faut qu'à tous les niveaux de la société une réelle liberté soit garantie : presse, justice, politique, économie, simple citoyens; mais le pendant impératif en est la responsabilité de ses actes, et une logique sanction en cas de faute.
On peut envisager de créer un organe de presse totalement indépendant des pouvoirs, en le finançant par la participation des citoyens qui le souhaitent, de manière anonyme. A savoir qu'un organisme bancaire comme la Caisse des dépôts et consignations pourrait recevoir les fonds officiellement afin d'éviter des opérations délictueuses, et les reverser à l'organe de presse en préservant l'anonymat. Une sanction lourde sera prévue en cas de non respect de l'anonymat.
Cet organe de presse fera appel à des journalistes dont l'intégrité et la compétence sera certaine, et servira d'amplificateur d'informations, afin qu'aucun sujet fâcheux ne puisse être enterré.
Chaque journaliste sera entièrement libre et responsable de sa rubrique.
Une formation de futurs journalistes sera également intégrée.
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Transmis par adminle 16 novembre 2009 à 15:40:37 CET (3176 lecture(s))
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Tribune: Illusion ?
Visiteur a écrit : "- Point de départ : le ras-le-bol des « gouvernants », politiques ou économiques qui nous pourrissent la vie
- Idée : créer un parti « politique » qui soit un contre-pouvoir et un développeur d’idées nouvelles, regroupant ceux qui en ont marre de l’individualisme égoïste forcené ou de l’économie qui privilégie quelques uns au détriment de tous les autres.
- Concrètement : faire avancer des idées nouvelles permettant à tous de s’impliquer dans une vie au quotidien plus humaine et civilisée. Révolutionner l’économie, la justice, la presse (création d’un organe indépendant), la police, l’armée, la culture, la sécurité routière… et faire prévaloir l’idée de dignité humaine.
- Avantages : enrichissement intellectuel, agir sur les décisions qui nous concernent
- Inconvénients : l’utopie de croire qu’on peut changer les choses; toucher au plus près la bêtise humaine et la bassesse.
En bref : on est face à un mur, mais parfois ça soulage d’y donner un coup de pied ! "
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Transmis par adminle 02 octobre 2009 à 11:02:41 CEST (3548 lecture(s))
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| | | | | Edito
En ces temps troublés où l'égoïsme est forcené et le respect défaillant, plus encore que la Liberté, l'Egalité et la Fraternité, il faut mettre en avant :
" La liberté des uns s'arrête où commence la liberté des autres ". | | | | |
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